Yamitô Yuuya

)Identité(

Nom : Yamitô
Prénom : Yuuya
Surnom : Yuu-chan, donné par sa grand-mère.
Âge : 17 ans
Date et lieu de naissance : 13 décembre 1991 / Envers
Race : Humain
Sexualité : Homosexuel
Vice : Un mélange entre la luxure et le sadisme. Un très beau mélange, en fait.

)Description(

Caractère :

Physique :
Yuuya est mignon. Seulement, il ne semble pas le voir. Il se fout un peu de son physique et n’y porte pas une grande attention non plus. Il sait toutefois qu’il est ainsi et que son corps ne laisse pas les autres indifférents. Le jeune homme n’est pas grand. Mais comme on le dit si bien : tout ce qui est petit est mignon. Il n’est pas grand et son poids est proportionnel à sa taille. Il est maigre, mais pas assez pour dire squelettique. Juste parfait. Il n’est pas musclé et ce n’est pas quelque chose qui le dérange. Il se sait plus faible que les autres physiquement, même s’il pourrait aisément mettre une autre personne à terre sous le coup de la colère. Ses cheveux sont longs. Pas au point de pouvoir dire qu’il ressemble à une fille (même si c’est le cas), mais ceux-ci lui tombent délicatement contre la nuque, entourant son visage. Il ne prend pas la peine de les coiffer, puisqu’ils sont toujours plats, et ne fait que passer sa main dedans pour les ébouriffer un peu. Ils tombent habilement dans sa figure, cachant ainsi ses yeux aux regards des autres. Ses yeux, parlons-en. Ils sont envoutants. D’une douce couleur caramel, lorsque le regard des autres le rencontre, il est dur de s’en défaire. Comme Yuuya reste muet, la plupart de ses émotions sont transmises dans ses yeux. Son visage est assez longiligne, sa peau d’une pure blancheur. Yuuya n’a rien à redire sur son physique. Il est ce que l’on pourrait qualifier de parfait. Physiquement, en tout cas.
Style Vestimentaire :
Yuuya n’est pas du genre à se casser la tête. S’il aime, il le porte. Il se fout du jugement que les autres peuvent porter sur lui, parce que de toute façon, il se fout totalement des autres. Il sait être classe tout en restant très simple. Il est fréquent de le voir vêtu d’un simple jean, souvent noir ou bleu, assortit d’un chandail plus ou moins ample. Il adore jouer sur les couleurs et les styles. Un jour, ce sera les rayures, l’autre les carreaux, évitant toutefois que ce soit agressant pour les yeux. Yuuya n’a jamais vraiment vécu dans le luxe, sa grand-mère étant très conservatrice au niveau de l’argent. Il est donc également fréquent de le voir s’enfermer dans sa chambre, vêtu de son boxer et d’un chandail lui tombant au niveau des genoux.
Famille :
La famille Yamitô à une réputation très sombre. Ceux qui font partie de la famille Tensai sont dit comme étant savants fous et aventuriers destructeurs. Yuuya fait un peu partie des deux. Enfant unique. Yuuya fut le seul enfant de Mariko, puisque celle-ci mourut à l’accouchement. Il vécu avec son père pendant près de deux ans, mais comme celui-ci ne voulait pas « tenter » de prendre soin de lui, il alla le porter chez sa grand-mère maternelle, donc la mère de sa mère, avec qui il vit présentement. N’ayant pas vécu avec son père, un Yamitô, mais avec une Tensai, le jeune homme à été élevé comme étant un membre à part entière de la famille Tensai, même s’il porte le nom de son père. Tensai Noriko est assez rabat joie, et surtout surprotectrice avec lui, puisqu’il est le fils de sa belle Mariko. Il ne l’aime pas plus que ça, mais la respecte énormément. Quel contraste… Il sait qu’il a de la famille à Ura, sa cousine Yôko et son cousin Akehito, sauf qu’il ne les a jamais vus, ne les connaît pas et ne cherche pas à les connaître.
Amis : Les autres élèves respectent beaucoup Yuuya, même si celui-ci ne parle jamais. Il se fait facilement accepter par les autres, non seulement parce qu’il est doué dans tout, mais surtout parce qu’ils ont peur de ses humeurs sadiques. La plupart des gens qui sortent avec lui sont soit complètement fou, ou bien maso. Et au club Abekobe, où il est host, il y en a pas mal. Mais Yuuya n’a pas d’amis à proprement dit. Il ne s’attache pas aux autres, et pour lui, c’est peut-être le mieux à faire. Il préfère jouer avec les gens, comme de vulgaires poupées, pour ensuite pouvoir les rejeter lorsqu’elles deviennent inintéressantes. Le seul qui détient réellement le statut d’ami est Yusuke, allez savoir pourquoi…Ils ont un caractère assez semblable, c’est peut-être pour cette raison que Yuuya ne voit pas le besoin de s’en départir. Et même s’il ne parle pas, ils se comprennent.

)Histoire(

- Regarde toi…Nous devrions le donner…
- Nira ! C’est notre enfant, c’est ton fils! Comment peux-tu dire de telle chose ?
- C’est trop tôt…Trop tôt…
L’homme tournait en rond dans la chambre. Sa copine était enceinte. Dix-sept ans. Et dans une ou deux semaines, elle mettrait au monde son enfant, son petit bâtard. Un être comme lui, qui lui ressemblerait sûrement comme deux gouttes d’eau. Fier ? Oui, il l’était. Mais à dix-neuf ans, on ne veut pas avoir un morveux dans les pattes. On préfère sortir en cachette pour aller s’amuser avec de jolies filles. Au plus profond de lui-même, toutefois, il y avait la haine. Contre elle, contre lui, contre le petit. Il n’aurait plus jamais la même vie. Pas après l’accouchement, en tout cas. Les derniers jours s’étaient écoulés extrêmement vite. Nira ne restait pas à la maison. Il en avait assez d’entendre Mariko se plaindre. Jusqu’au jour où les contractions arrivèrent. Encore une fois, Nira s’était sauvé. Il avait laissé sa copine au bon soin de sa belle-mère. De toute façon, il n’avait rien à voir là-dedans. Il rentrerait le soir et la retrouverait avec le bébé, un point c’est tout. Il n’avait pas en s’en faire pour elle, de toute façon. Onze heures. Il se décide enfin à revenir. Mais sur le pas de la porte, il y a Noriko, une couverture dans les bras. Son visage est sombre, ses joues scintillent. Visiblement, elle a pleuré.

- Noriko-san…Y a-t-il un problème? Pourquoi êtes vous encore ici ?
- Nira. Bakayarô…

La main de la dame venait s’échouer contre le visage du jeunot, complètement tétanisé. Ses grands yeux bruns se posaient lentement sur sa belle-mère alors que les larmes recoulaient de nouveau, sans qu’elle puisse les stopper. Elle déposa rapidement l’enfant dans les bras de son père puis descendit les marches du perron, sans se retourner.

- C’était elle, ou lui. Et elle à choisit de le faire vivre. Ganbatte Nira-kun.

Un signe ? Probablement. L’asiatique baissa les yeux vers le visage du nouveau né, serrant ses poings dans la couverture. Mariko. Yuuya. Nira. Ce devait être une belle famille, au départ. Mais finalement, ce qui devait ressembler au bonheur prenait plutôt des airs de mauvais films. Les premiers mois furent un enfer. Les suivants aussi, mais ce n’était qu’un détail. Yuuya grandissait normalement, heureusement pour lui. Mais après deux ans, ce fut le comble. L’enfant sautait partout, criait pour un rien, et lui, il n’en pouvait plus. Il voulait faire autre chose. La nuit tomba. Il enroula son fils dans une couverture et le prit dans ses bras avant de sortir dehors. Noriko saurait en prendre soin, beaucoup plus que lui en tout cas. Elle était encore jeune, elle avait la volonté de le faire. Il laissa le petit Yuuya sur le pas de la porte de sa grand-mère. Pas un mot, rien. Il s’en fut comme un voleur, discret et silencieux, faisant son passage pour l’Endroit. Plus aucune nouvelle. Plus jamais.

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)Vie Lycéenne(

Classe : 1ere année
Club(s) : Club de musique
Interne : Oui
Objectif Professionnel : Aucun?! Sûrement terminer ses études sans trop de mal, juste pour faire plaisir à sa grand-mère.

~ Personnalité sur l'avatar : Tegoshi Yuya

Bienvenue parmis nous chouette un petit 1ère année on va pouvoir le torturer enfin non peut être enfin on verra XD
Bonne chance pour la suite

Bienvenue !! ^^

Yuuya ! *O*

bienvenue à toi =)

*contente*

Bouh Yuya qu'est-ce que je l'aime celui la xD

Bienvenue! bonne chance pour la suite de ta fiche

OOOOOOOOOOOOOOOOOh mon cousin est là!!! Salut! Et oui les Yamitô sont tous là maintenant^^
BIENVENUE
Vous allez tous souffrir!! niark!!!
C'est ma tite chewi qui va être contente^^

Oh oui que je suis contente!! *o*
C'est une très belle fiche qui se profile... quelqu'un qui a bien compris le contexte en tout cas... on va voir pour la suite x)

Bon courage mais surtout BIENVENUE à ce cher Yuuya que j'attends depuis que j'ai tapé les premières lignes de ses traits de caractère... <3

Génial alors <3
Tant mieux tant mieuuux!! ^o^
étant en partance pour Dijon (rentrer chez moi) mais comme je n'y ai pas internet à domicile tu ne seras validée (si la fiche est finie prends ton temps ^^) que demain =)
Bonne inspiration Yuuya!! ^____^

Bienvenue! Un peu en retard xD

- J’aimerais sortir, obaa-san…

J’avais dix ans. Je regardais la neige tomber. Les flocons venaient mourir contre le carrelage déjà givré de la fenêtre. Sans savoir pourquoi, lorsque j’étais dans la maison, je devais toujours rester dans ma chambre. Et même si je parlais, la plupart du temps, la vieille faisait comme si je n’existais pas. Alors je jouais de la basse. La seule chose que je pouvais faire, c’était me rabattre sur ce qui trouvait dans la pièce, c’est-à-dire pas grand-chose. Obaa-san avait aménagé une pièce dans le grenier, pour moi. Ainsi, je ne traînais pas dans ses pattes, et je pouvais y faire ce que je voulais. Donc je regardais dehors. Je jouais de la basse. Je dessinais. Je m’ennuyais à vrai dire. Les seuls temps où je pouvais sortir, c’était pour manger et me rendre à l’école. Le reste du temps, j’étais enfermé. Un peu comme un chien en cage. J’avais remarqué qu’à chaque fois que je passais près d’elle, Noriko-san me regardait de travers. Pourtant, je ne faisais rien. J’étais l’enfant le plus calme de ma classe, et elle n’avait rien à me reprocher. Mais elle était différente.

- Obaa-san! Où êtes-vous ?

J’étais sortit. Je prenais le risque. Que pouvait-il m’arriver, de toute façon. La seule personne à craindre ici aurait été mon grand-père, mais chaque fois que je le voyais, il avait les yeux dans le vague et un filait de bave coulait sur ses genoux. Complètement maboule. J’allais malheureusement savoir pourquoi. Je laissais ma tête passer dans l’embrasure de la porte menant à la cuisine. Il y avait mon grand-père, toujours sur la même chaise, au même endroit. Son teint avait bizarrement viré au vert. Sa peau avait une vague ressemblance avec le caoutchouc. Et devant lui, à quelques mètres, il y avait ma grand-mère. Vêtue d’une longue robe noire, exactement comme si elle s’apprêtait à sortir. Sauf qu’elle avait un petit couteau dans la main droite. Elle s’avançait lentement, laissant sa longue chevelure tomber devant son visage. La lame passait lentement contre le bras du vieux, qui relevait péniblement la tête pour regarder sa femme. Je pouvais voir le filet de sang perler sous sa chemise. La lame s’enfonçait dans son bras. Aucun cri, pourtant. Il ne devait plus rien ressentir, de toute façon. Au nombre de flacon qui jonchaient la table et le sol, je commençais à me demander ce qu’elle lui avait administré. Et c’est à ce moment que je suis resté tétanisé. Par la peur, tout d’abord, puis ensuite par la fascination. Noriko s’était mise à frapper un peu partout, avec son petit couteau de cuisine. Il y avait du sang un peu partout. Sur mon grand-père, sur le sol, sur elle. Et dans ma tête, il y avait cette image. Là, j’avais peur. Surtout lorsque mes yeux croisèrent ceux de Noriko. Cette lueur, au fond de son regard. Cette envie insatisfaite.. Tuer une personne, ce n’était peut-être pas assez pour elle. Un rire grave s’échappait de sa gorge avant qu’elle fasse passer la lame bord en bord du cou du vieux. Elle le retirait puis se levait, poussant la chaise ainsi que le corps sur le sol.

- Viens me voir, Yuu-chan…
- Je..eto…
- J’ai dit : Viens. Me. Voir. Yuu-chan…

Elle mettait de l’accent sur chaque mot. Alors je me suis avancé. Lentement, très lentement. Sauf qu’elle m’agrippa par les cheveux, m’arrachant un cri. Et elle, elle c’était mise à rire, une nouvelle fois. Comme si c’était drôle de me voir ainsi. Son regard se fichait dans le mien alors qu’elle faisait passer sa main ensanglantée dans mon visage. Elle me tirait encore un peu pour me coller contre elle. Le couteau se revira finalement contre moi. Un coup, juste un. Au niveau de l’épaule. Inévitablement, j’ai crié. Tellement fort. Tellement fort qu’elle retira la lame de ma peau pour venir la glisser dans ma bouche, contre ma joue.

- Yuuya-chan, qu’est-ce que j’avais dit à propos des sorties ?
- Ne. Pas. Sortir…
- Pourquoi t’es là, alors !

Une claque. La plus monumentale que je pu recevoir. Je tombais par terre, laissant les larmes dévaler mes joues. Elle se penchait. Et elle appuyait directement là où elle m’avait blessé, avant de remettre la lame dans ma bouche. Un sourire se dessinait sur ses lèvres. Le plus épeurant qu’elle me servit. Sa tête penchait sur le côté. La lame glissait lentement contre ma langue.

- Tu ne diras rien, ne ? Il ne faudrait pas que ça se sache… Aishiteru, Yuuya-chan.

Elle retirait l’arme de ma bouche. Et moi je courrais jusqu’au grenier, sous le regard satisfait de la vieille folle. Ne rien dire ? Je ne pouvais plus rien dire, de toute façon. J’avais trop peur. Et trop mal. Donc je pleurais.

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Un sursaut. Dans le noir de la chambre, un sanglot s’était fait entendre. Celui de Yuuya. Son cœur battait la chamade, son chandail lui collait à la peau. Les larmes roulèrent une nouvelle fois contre son visage, comme chaque fois qu’il revivait la scène. Il se laissait retomber sur son lit, avant de venir poser sa main contre son épaule. La cicatrice était bien visible. Mais de toute façon, ça n’avait pas d’importance. Il s’en foutait. Son corps, ce n’était rien d’autre qu’une enveloppe. Satisfaire son vice était assez aisé. Avec l’allure qu’il avait, un simple coup d’œil suffisait pour comprendre ce qu’il voulait. Même sans voix. Il n'avait pas reparlé. Pas même un murmure... Ses yeux se posèrent contre sa basse. Yusuke. Il voulait voir Yusuke. Là, maintenant. Il avait besoin de voir quelqu'un. Et la seule personne qui pouvait un temps soit peu le comprendre, c'était lui.




Autre :
- Yuuya déteste les chats. L'un des passes-temps qu'il avait vers l'âge de douze ans était d'ailleurs de les faire souffrir.
- Il a une corde autour du cou, lui servant de collier, depuis qu'il est jeune.
- Il a peur des orages. Après sa grand-mère, c'est sûrement la chose qu'il déteste le plus au monde.



Et voilà, j'ai terminé =)

o_o
t'as une imagination folle yuuya ^^
Pour trouver un truc horrible c'est réussit!

me tarde que tu sois validé <3

Wow c'est impressionnat!! Vraiment terrible.
Comment t'arrives a faire une histoire comme ça? Moi je bloque XD
Quel imagination!!!!

Le pire, c'est que j'étais pas ultra dans l'inspiration..
En fait, l'histoire, c'est ce que j'ai le plus de facilité à faire. Normalement, je commence par ça.
Et c'est pas parce que j'ai l'esprit tordu ^^'

En tout cas, contente qu'on aime =)

Bah moi c'est le contraire XD C'est ce que j'ai le plus de mal a faire et je termine par ça XD
en tout cas il est tordu mon cousin mais j'aime XD

Je te VALIDE!

ta chambre 05
ta classe 1-C!
(j'avais pas de dé mais j'ai demandé à un ami de choisir un nombre et en additionnant ça a donné 1-C XD)

j'aime beaucoup l'histoire, c'est... sadique et sanglant à souhait!!
Amuse-toi bieeeeeeen!!!